Mardi 14 octobre 2025 Trassanel TPST 7 heures (et un peu en surface)
Claire, André, Jean Noël, Jean Claude, Jean Marie et Cédric, Daniel
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Pendant que Claire, Jean Noël et Bosco partent parcourir les crètes nous gagnons le trou ou Cédric, secondé par Daniel, décortique les esquilles osseuses prisonnières de leur gangue de calcite. Il nous délègue une coulée ou le travail nécessite moins de précision. C'est au burin et à grand coups de massette que nous dégageons l'osselet. Nous faisons un petit tour au fond : l'éboulis de blocs et de terre rejoint la paroi verticale : le trou de Balle du Pujol, le courant d'air en moins. Nous laissons nos chercheurs en plan, notre programme de la journée est chargé.
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Belle entrée entièrement dégagée |
En passant devant Béranger je descends récupérer une gamate désormais inutile. Il faudra un jour venir creuser la perte à l'extérieur de l'entrée. Cet hiver, quand la forêt de ne craindra pas le brasier d'une grillade.
Passage par Trassanel ou nous récupérons Jean Claude, direction "la Prairie". Jean Claude insiste depuis plusieurs années pour que nous attaquions sa source. En aval de Pitcharoc. Ici la paroi droite semble être de la roche en place à la différence de la résurgence temporaire au dessus. C'est plus pour sécuriser l'alimentation en eau de son potager que par réel espoir de trouver quelque chose. Occasion de s'entrainer à la désobstruction, même si on n'y crois pas trop.
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JC reprend du service |
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Deux opérations suffisent pour accéder à ? Devinez ? L'eau bien sur. Un léger courant nettoie la boue. Mais il n'y a aucun espace libre, juste une fissure noyée. Avec André nous jetons un coup d'œil au Pitcharoc "historique". Le ressaut d'entrée est bouché par des blocs, mais un courant d'air net remonte. JClaude affirme qu'il était arrivé sur une galerie ou il tenait debout... Donc avoir franchi l'horrible éboulis de l'entrée. Mais le récit de JPP reste dans nos mémoires "du plafond j'ai vu une grande dalle glisser sur moi, et j'ai compris que j'allais mourir. elle s'est arrêtée à quelques centimètres. Jamais plus je n'y reviendrai"
A revoir peut être en cette fin d'été hyper sèche...