Vendredi 24 Juin
Trou de Béranger (Trassanel)
Jean Claude, Claire, Jean Marie + Inès, Enée, Léane
TPST 7 heures
« Que l’on » fait les meilleures…
Comme dit Sylvain : on a plus de chance de progresser en reprenant une cavité
connue et laissée à l’abandon (comme les Oliviers) qu’en prospectant. A
l’automne j’avais guidé les Tritons lyonnais au trou de Béranger. J’étais
stimulé par le commentaire de mon ami Xavier R. sur Grottocenter :
« Petite cavité assez esthétique qui mériterait probablement de se
poser la question d'une désob au fond... »
Nous avions alors repéré outre le chantier terminal, deux
départs sur le coté gauche qui paraissaient ventilés.
Nous en profitons pour faire découvrir la spéléo à la
petite fille de Claire et à ses amies.
Nous attaquons un des deux départs. Le style est reconnaissable entre
tous : du « Masdanien ancien ». Je veux bien croire que vous
n’aviez pas de gomme à l’époque, mais apparemment pas non plus de
massette ! Après une heure d’efforts le conduit est assez large pour
laisser passer deux types normaux (en stature, je veux dire).
Nous arrivons sur un méandre cloisonné par d’énormes dalles verticales qui vous avaient arrêtés. Elles ne résisteront pas à deux paillages. Tant qu’on est dans les dictons « un paillage vaut deux… » Hélas la suite n’est pas emballante. Un gros chantier en perspective et pas vraiment d’air.
Retour à la conduite principale et direction le terminus. Ici aussi quelques coups de massette se sont perdus. Quel était le tour de taille des premiers désobeurs ? Heureuse surprise : la chatière terminale souffle nettement. Nous aménageons rapidement le 1° retrécissement pour revenir dans les prochaine semaines.
Nous arrivons sur un méandre cloisonné par d’énormes dalles verticales qui vous avaient arrêtés. Elles ne résisteront pas à deux paillages. Tant qu’on est dans les dictons « un paillage vaut deux… » Hélas la suite n’est pas emballante. Un gros chantier en perspective et pas vraiment d’air.
Retour à la conduite principale et direction le terminus. Ici aussi quelques coups de massette se sont perdus. Quel était le tour de taille des premiers désobeurs ? Heureuse surprise : la chatière terminale souffle nettement. Nous aménageons rapidement le 1° retrécissement pour revenir dans les prochaine semaines.
5 commentaires:
Si c'est au fond de la cavité,côté massif, après passage étroit ça s'élargit un peu on est debout, mais vers le bout ça pince, et l'air vient d'une misérable fissure, un petit trou en hauteur, paroi de gauche ' en allant au fond J'ai fait 1 tir, sans grands résultats . En sortant j'ai rejoins André qui venait de trouver, à peu près à l'aplomb deux petits trous souffleurs qui expliquaient(peut être ) le truc...
Ce qui pourrait être intéressant c'est le point bas, plein de blocs et de graviers, finalement Clergues n'est pas si près que ça....
Avant la dernière montée, dans la salle la plus vaste il y a deux conduits descendants sur la paroi de gauche. On en a élargie un qui donne sur une faille/méandre d'une vingtaine de cm de large sur plusieurs mètres de profondeur, non ventilé. L'autre, tout près, est défendu par un rétrécissement serré en pleine roche, non ventilé. On a pas forcé le passage.
Mais le plus intéressant est effectivement au fond, après une étroiture infâme (entre la voûte et une coulée de calcite)on se redresse dans une petite salle (4m sur 2). Juste à l'endroit ou on peut se redresser il y a eu une petite désob sur la gauche (blocs +/- boue, plutôt descendante. L'air arrive très nettement de là. pourquoi vous n'avez pas poursuivi ?
Relis ce que j'ai écris plus haut ...Mais c'était dans la paroi, en hauteur si je m'en souviens,il y a plus de 30 ans !
Non, c'est bien au ras du sol et plutôt descendant ; vers l'autre versant de la coulée barrant la galerie ?
Non, c'était en hauteur, il faut que je retrouve mes comptes rendus, ceci étant cela n'a pas d'importance, vous verrez par vous même
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