Kondalé, Trassanel
TPST : 7 heures
Sylvain, Jean Marie
Guillaume devait nous rejoindre mais son tel ne recevait plus nos sms...
A trois on aurait pas fait plus.
La première question était de savoir si les pluies de fin d'année n'avaient pas bouché le tube Macron.
Pas mal de trace de crue sur la descente, de ravinement au milieu de la barricade. Le tube est ensablé mais ça passe.
Je ne suis jamais emballé pour aller au fond de ce trou, pourtant une fois que j'y suis j'apprécie bien d'y être. Pas si pénible que ça et la fréquence des passages donne des habitudes, facilitant la progression.
Bref on descend en un peu plus d'une heure.
On avait laissé le chantier sur un rétrécissement ou la roche pétait mal.
Un premier tir sur la paroi de droite ne détache pas grand chose. Il va falloir tenter à gauche ou la présence de failles et de remplissages nous avait tenus en échec.
Nettoyage des lames de terre, repérage des fissures, le tir est plus qu'honorable. L'efficacité ira croissant, toujours à gauche. Nous essayons de remonter le maximum de gravats mais une bonne partie tombe au fond. Ce qui accélère notre progression. On arrête vers 15 heures faute d'accus. Il est possible de passer la tête et de voir la suite : faille longue de plusieurs mètres et profonde d'autant (-200 ?), mais malheureusement étroite. Un petit élargissement 2 mètres en dessous de nous ?
L'évacuation du bouchon de gravats a réactivé le courant d'air : suite ou convection avec l'autre partie de la faille ?
Sylvain est pessimiste, moi moins.
Remontée sans incidents en 1h40.
Le courant d'air (alterné) est bien net dans tous les tubes alors qu'on ne le sentait plus depuis des mois, effets du débondage ?
Pas de place dans le kit pour l'appareil photo.
3 commentaires:
Pourtant l'eau y va....
Alors, la suite ,vite, les vieux se font chier à attendre vous lire....
Les vieux n'ont pas fini. Tout le monde occupé ailleurs, il parait même qu'il y en a qui bossent. De toute façon il faudra 2 ou 3 sorties avant de voir plus loin.
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