lundi 8 avril 2019

Topo Kondalé et "première" surprise

Samedi 06 Avril 2019
Trassanel Aven de Kondalé
Sylvain, Jean Marie
TPST 9 heures

Entrée dans le trou vers 10 heures. De plus en plus tard. Il faut dire qu'on est restés un moment au PC. J'avais oublié... ma sous combi. JClaude m'a dépanné. J'avais aussi oublié ma burkanette, mais je ne le savais pas. Je l'ai retrouvée par hasard sur le parking ou elle m'attendait depuis 15 jours...
amélioration de quelques équipements à la descente. Arrivée rapide sur la pince à sucre. Sylvain fore un trou de plus (il restait 3 trous de la dernière séance), on remplit tout ça. Branchement sur corde au milieu du puits. Qui me secoue pas mal les tympans. Cette roche compacte c'est autre chose que la calcite de Béranger. Les gaz arrivent de suite et j'inspire pas mal, un peu trop, le temps de ranger la ligne et de remonter. Ça me vaudra un bon mal de tête pour toute la journée.
On récupère la corde et on remonte d'un étage pour faire la topo d'une faille fossile (large la faille, 5 bons mètres). Mon comparse a fait de nets progrès dans la prise de mesures, il a pensé à ses lentilles ce qui ne doit pas y être pour rien. Pas de tremblements, et de valse de laser.
On redescend dans le puits. Sylvain casse tous les rebuts de tir. J'ai trop mal au crâne pour le suivre.
Aucun courant d'air dans les tubes mais ça devient habituel. Ce sont les gravats de la Pince à Sucre qui ont bouché l'arrivée d'air ?
J'ai rentré les données topo. Pas de surprise, cette faille fossile est bien proche du puits de l'Etron. Le point le plus intéressant est le chantier actuel.
On a laissé 2 plaquettes (sans maillon) en haut de cette faille. Il faut y revenir sans faute pour une journée photo. Etienne ? Christophe ? Ici pas de concrétions mais des planchers suspendus à 8 mètres du sol qui devraient être photogéniques.
Pas de photos ce jour, les kits étaient trop pleins.
Remontée tranquille et sortie à 19 heures. En passant prendre une bonne bière chez JClaude et Christiane.

J'aurais quand même fait un peu de première ce WE ; Dimanche je pars avec Claire chercher des morilles sur le causse de Sorèze. Il y a un bon mois déjà j'y avais suivi une piste réaménagée par l'ONF. Le bull avait dégagé un petit orifice, aéré. 


J'y étais revenu une semaine après désober avec les grands moyens. Un bloc et un noisetier furent rapidement extraits (c'est plus rapide que la gamate).



Le passage descendant était ouvert mais quelques blocs moins imposants avaient glissé dans l'orifice. 


Je cherche massette et burin. Impossible de les trouver. J'y passe un bon moment puis renonce et rentre chez moi (pour les retrouver sous le siège du Toy...).
Depuis je n'y étais pas revenu. D'une part je suis assez occupé dans l'Aude et d'autre part il y a une cavité connue 20 mètres au dessus et je pensais que ce nouveau trou y menait tout droit.
Hier donc le silence habituel est troublé : des voix des bruits d'outils...
Nos collègues et amis du club Sorézien s'attaquaient au chantier. Je pensais le trou quasi ouvert, ils ont bien décaissé un mètre cube.
Au retour de la cueillette (bredouille) les voitures sont toujours là mais personne en vue. 
En approchant j'entends leurs voix. Thierry P. me prête une combi et je les rejoins : 2 salles, petites, mais assez jolies. La suite est bouchée par un éboulement terreux assez poreux et semble se diriger vers la cavité connue.