lundi 6 mars 2017

Plein la gueule, pour le plaisir !


Samedi 25 Février
Trou de Béranger, Trassanel
Jean Marie, Jean Michel
TPST 8 heures

Article écrit par JMichel qui ne peut pas accéder au blog (complété par mes soins dans une 2° partie)

Magnifique journée printanière, en plein hiver.
Nous profitons pleinement de la petite marche d'approche en plein soleil.

Dans le trou nous suivons les traces d'un écoulement d'eau depuis l'entrée jusqu’à un point d'absorption sous les planchers stalagmitiques.
Arrivé au fond, nous commençons par vider le point bas de toute l'eau accumulée (3 ou 4 gamates).
La première pailles est efficace les suivantes le seront beaucoup moins. Soit les trous débouchent dans des vides, soit ils finissent si prés d'un vide que seul le fond dégage...
Coté voûte , les tirs fractionnent la roche mais tout reste en place, parfaite illustration de "l'effet de voûte".

Bref au bout d'un moment l'on sort l'artillerie lourde avant de ressortir pour manger au soleil.
Après la sieste nous retournons au fond. Le résultat n'est pas terrible, mais permet après de sévères burinages au plafond de se redresser dans la voûte et de glisser une main dans la suite.
La tête ne passe pas car c'est de la taille d'un gros pomelos ou d'un petit melon. Le courant d'air aspirant est sensible et ça pourrait s'horizontaliser.
1 ou 2 pailles plus tard je suis violemment agressé par quelques cailloux qui tombent du plafond, la poussière des forages dans l’œil droit et les sautes d'humeur pyrotechniques de la patchamama.

Tout cela nous gonfle et nous ressortons après un début de grattage avant l'entrée, là ou l'eau se perd.

Dehors il fait presque nuit !

2 points positifs :

1/  je ne remettrai plus les pied dans se piège à c...
2/  la dernière production de l'atelier des acacias est super efficace : alimenter une vielle TE6A avec des accus chinois au Li-ion. Un test original  prouve que ce perforateur a une meilleure percution que les 2 générations suivantes.

Sur la photo vous noterez le dernier modèle de la collection hiver de massette, le modèle dit queue de cochon.




Le lendemain, récupération active au pic de la mine, pour les raccords de bronzage entre les estafilades faciales de la veille.

Jean Michel

Je rajoute qu'avant d'aller à Béranger on a fait un tour à Charly, récupérer du matériel. Le trou aspire nettement mais arrivés au fond pas de trace de courant d'air ??? Par contre de l'eau est passée et le sol bien sec est devenu un bourbier. En ressortant quelques minutes après, le souffle aspirant est encore plus violent. En tout cas ce n'est pas un tube à vent avec Béranger qui aspire aussi.

Par ailleurs faute de subventions et à court de liquidités le GPS par sa commission technique de l'atelier des acacias va commercialiser une nouvelle génération de pailles, la "Pandalagl". Le prototype a été testé  à Béranger avec succès par notre inénarrable compère (narrable oui mais pas écrivable). Pour tous les clubs intéressés doc si dessous :


Jean Marie

ET N OUBLIEZ PAS LA FETE DE LA TRUFFE A TRASSANEL LE DIMANCHE 12

2 commentaires:

jean michel a dit…

Pour la suite de Charlie, plutôt que de se perdre dans les zones broyées instables ou les fissures étroites, il vaudrait mieux déboucher le conduit fossile horizontal, au fond ,à gauche, qui part dans la bonne direction.
Il est plein de terre facilement sortable et est d'une dimension optimum.

masdan a dit…

Reprenez l'aven des chiens, dans l'alignement de la grotte du maquis,20 ou 40m de l'entrée arrière( en direction de Béranger)... Je suis en train de repérer mes diapos de la journée Massacre à la tronçonneuse... pour étayer un éboulis car à 2 on ne pouvait sortir les remblais . C'est du beau creusement typique de Trassanel, et ,dans mes commentaires je signale de l'air, oui.
... Mais avant il vous faut finir:Les mystères,Pertusac,les Mages, peut être la Cigale, Le Bournasset, les 1000 feuilles... Pfff, il y a du taff..